Monday 5 March 2012

Double Whammy: Election Fraud + In & Out?

Last November, the CPC and its fundraising organ pleaded guilty to their violations of the Canada Elections Act.

Senator Finley is a lying Attack Parrot™© flapping his gums and trying to divert attention from his CONtempt Party's record of illegal and criminal practices, in light of alleged voter suppression and election fraud activities during the 2011 campaign.

Last week Le Devoir's Hélène Buzzetti did some good old-fashioned investigative journalism and produced information that seems to demonstrate that the CPC did it again. Here's an adaptation of her findings, in English.
Using the telephone – what else for this kind of story? - she established that money that helped pay for the Conservatives’ automated robocalls went through Quebec.

She called up Quebec conservative candidates one after another.She had them singing like canaries in a mine after a while.

Bertin Denis, defeated Conservative candidate in Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques, (that’s a trip in itself) admitted his campaign organization had paid $ 15 000.01 to the Toronto-based Responsive Marketing Group (RMG.)

Bertin Denis laid it out plainly. He was no more than a "mail box" for paying phone call bills to other parts of Canada. The party had sent him $55,000 but he had to write out a cheque to RMG for $15,000.01.

Money in, money out. (Sounds familiar?)He couldn’t remember what the cheque to RMG was for.
There appears to be a number of Québecois CPC candidates who claimed expenses that were actually in support of activities done for the national campaign, and not for their riding. Robocalls support.

We have to keep the pressure up; it appears CONs are currently trying to discredit the Elections Canada investigation with every Rovian tactic at their disposal.

Many politically engaged bloggers who don't support the Contempt Party for a multitude of reasons and voted for other parties were puzzled that the Bruce Carson corruption story didn't sink Stevie's boat.

The Toronto Star's Susan Delacourt provides some insight into how the CPC accomplished that, in her excellent article:
Quoting from StatsCan figures, Soudas said that while 92 per cent of Canadians claimed to watch TV news and 70 per cent claimed to read newspapers, in fact the real figures are around 50 per cent for both.

This is why, Soudas explained, Conservatives concentrated their advertising buys on more popular, non-news TV shows. It’s also why the Conservatives pay close attention to giving citizens the same clear, strong imagery that Canadians are accustomed to seeing in their consumer brands.
No matter how hard the Cons try to deodorize this corruption and hide their criminal actions, their *brand* still stinks.

3 comments:

Beijing York said...

It certainly does stink. Compare and contrast. Russians against Putin's election results are getting major media coverage. "Election results RIDDLED with fraud." Still, no explicit examples of what kind of fraud we are talking about. In Canada, documented proof that a number of tactics were used to suppress voting, and our election fraud is treated by the media as if its some outlier irregularity.

Unknown said...

La souveraineté : 7 BONNES raisons de rester dans le CANADA

1. Un Québec souverain deviendrait du jour au lendemain un pays insolvable. Pourquoi ? Parce que la dette du Québec est la plus importante de toutes les provinces canadiennes et en cas de souveraineté, celle-ci correspondrait à 94% de son produit intérieur brut (PIB), classant ainsi le Québec au 5e rang des pays industrialisés les plus endettés avec la Grèce et l’Islande. De plus, les coûts d’emprunt du Québec augmenteraient de façon dramatique avec la chute de la cote de crédit du Québec rendant ainsi la gestion de cette dette encore plus difficile. Ajoutez à cela un gouffre grandissant de 9 milliards par année en transfert de péréquation et nous avons une nation pauvre avec de la difficulté à rayonner mondialement.
2. Un Québec sans son Canada représente d’importants défis! Même souverain, les échanges commerciaux avec le reste du Canada demeure inévitables. Serait alors maintenue une situation de dépendance inévitable, allant à l’encontre de la volonté première de souveraineté absolue.
3. D’un point de vue international, là encore les complications seraient importantes. Le Québec ne pourrait se prévaloir que de très peu de poids politique face aux du Canada, de tels échanges ne pourraient se faire que dans le cadre d’un déséquilibre économique absolu.
4. Dans le même ordre d’idées, un Québec souverain ne serait pas nécessairement reconnu immédiatement. Effectivement, c’est ce que nous confirme l’administration Clinton, au pouvoir lors du dernier référendum en 1995, dans un article publié récemment dans la Presse : (insérer lien) (http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201403/14/01-4747886-washington-naurait-pas-reconnu-immediatement-un-quebec-independant-en-1995.php)
5. Le coût d’un référendum est énorme. Le coût d’un référendum inutile est encore plus élevé.
6. Un référendum gagné par 51 % aura comme effet de diviser la province, ou devrais-je dire, le pays. Construire un nouveau pays avec 49 % de la population en état de mécontentement présente des enjeux sérieux à considérer.
7. La protection de la langue française ne sera pas plus facile. L’anglais est omniprésent partout dans le monde. Il y a des anglophones au Québec. Et en Ontario. Et partout aux États-Unis…une réalité qui n’est pas prête à disparaître!

Unknown said...

La situation de l’emploi au Québec
Au moment d’écrire cet article en Mars 2014, le Québec fait mauvaise figure au niveau de l’emploi. Je ne suis pas une économiste ou une politicienne, je suis une travailleuse qui se pose des questions sur l’économie et l’élection provinciale 2014 au Québec. Je vais essayer de départir les différentes statistiques que j’ai trouvées sur internet et le programme des différents partis politiques. Selon moi, le Parti Québécois et sa chef, Pauline Marois, n’ont pas fait de miracle au niveau de l’emploi depuis 2 ans.
Selon l’institut de la statistique du Québec le taux de chômage a diminué de 0,2% en 2013 par rapport à 2012. Ce chiffre a besoin d’une bonne analyse pour comprendre si le Québec est en bonne situation économique ou pas. En fait, de comparer année après année est une très mauvaise comparaison. Il faut regarder l’évolution de mois en mois.
Selon Statistique Canada, le Québec a un taux de chômage supérieur à la moyenne canadienne. Celui du Canada pour Février 2014 est évalué à 7,0% et celui du Québec est à 7,8%. Le taux de chômage est en hausse de 0,3% par rapport à Janvier 2014 alors qu’il était de 7,5%.
Au chapitre de la création d’emploi le Québec compte pour un emploi sur cinq des nouveaux emplois canadiens. La population du Québec compte pour 23,25% de la population totale du Canada. Il y a un manque à gagner par rapport à la création d’emploi au Québec. Plusieurs secteurs comme la transformation primaire, la foresterie et les mines sont en décroissance au Québec malgré une forte demande mondiale.
Selon le Parti Québécois, l’emploi est leur obsession. Cependant, selon leur site internet : » Le Parti Québécois n'a présentement pas de postes à combler. ». Plus sérieusement, la feuille de route du gouvernement Marois n’est pas reluisant en matière de création d’emplois. Cependant ils promettent de créé plus 115 000 emplois en 3 ans.
Le parti libéral du Québec prévoit relancer le Plan Nord et stimuler l’économie avec une création d’emplois bien rémunérés et de qualité dans les régions du Québec. Philippe Couillard prévoit créer 250 000 emplois pour le Québec. Rappelons que le gouvernement de Jean Charest avait ramené le Québec au même niveau que l’Ontario au niveau du chômage et avait créé 400 000 emplois.
Le parti Québec Solidaire au lieu de promettre de créer de nouveaux emplois pour le Québec, promette de garantir un revenu minimum de 12,500$ par personne. Bravo! Plus d’assistés sociaux en vue.
Selon moi, il faut faire confiance au Parti Libéral du Québec(PLQ) pour créer des emplois au Québec et supporter les entreprises québécoises dans une économie changeante.

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